
De la place Triunfo se trouve pas loin de la Casa de Pilatos, le quatrième grand monument du vieux Séville. L’exception est souvent prise ici, curieusement, à certains des défauts mêmes que nous avons constatés dans l’Alcazar, mais qui y sont généralement ignorés ou autorisés.
Mais Il ne faut certainement pas s’attendre à trouver dans un logement privé, qui n’a été que le caprice et le soin de quelques dilettantes, l’unité et la sévérité qui sont liées au characterize un grand bâtiment public, ou quasi-public ! Le a été commencée vers 1500 par un Don Pedro Enriquez, dans le style sarrasin avilissant qui était à l’époque très touché par les cultures Les Espagnols. Don Pedro est cependant mort avant sa com- et le travail a été effectué par son fils Fadrique Enriquez.
Ce jeune homme, comme beaucoup d’autres descendants de les grandes maisons de l’époque, a fait un voyage à la Terre Sainte, et, à son retour, déterminé à façonner son hobby en accord avec la maison de Pilate à Jeru- salem, alors, comme maintenant, un des lions de la ville sacrée.
En conséquence, nous trouvons la grande salle de réception appelée Prsetorium ; il y a une colonne verticale en imitation de le pilier sur lequel le Christ a été fouetté – un don du Pape Pie V. ; il y a le bassin dans lequel les trente pièces d’argent étaient comptés, et même le coq qui chantait trois fois – dans la maison de Caïphe sûrement, pas celle de Pilate ! A Don Fadrique a succédé Afan de Ribera, premier duc d’Alcala, qui est venu à être nommé haut poste à Naples, et, étant un grand amateur d’art, a rempli sa maison sévillane de statues et de bustes romains des empereurs, etc., certains amenés d’Italie, d’autres des ruines d’Italica.
Que, sous ces circonstances… l’œuvre doit être assez fragmentaire et le lieu de la nature d’un grand magasin de curiosités, n’est pas pour qu’on s’en étonne – ou qu’on s’en moque. C’est tout simplement délicieux, vieille maison ensoleillée, dans laquelle un après-midi bien plus agréable peut être dépensé, et plus apaisant pour ses sentiments, que dans le fier Alcazar. À chaque étape, il y a des choses de beauté extraordinaire et valeur artistique, de la grande patio avec ses splendides azulejos – vraiment incrustés -, son son dallage en marbre à couches, ses fontaines en albâtre, ses colonnades mauresques parfaites, ses arabesques, ses treillis, et ajimez les fenêtres, jusqu’au dernier riche escalier, ou la bande de jardin, douce dans son enchevêtrement de orange, myrte et buis, et brillant – huod des lianes.
Aller et retour entre la Casa do Pilatos et Las Sierpes, le voyageur ne manquera pas de remarquer un charac- teristio preuve de la vérité de l’affirmation selon laquelle, si notre les ancêtres ont démenti leurs professions aussi facilement en esprit comme le font leurs arrière-arrière-petits-enfants, ils étaient à taux plus fidèle à la lettre. Le même Don Pedro – Pedro le Cruel – dont le dossier est rédigé en si long terme dans l’enceinte de l’Alcazar, a été tout autant donné à aventures nocturnes et amoureuses comme Juan do Tonorio lui-même, et en aucun cas particulier quant aux méthodes qu’il employait pour assurer ses fins.
Une nuit, il a eu la les mauvaises manières pour se quereller avec, et tuer, un doux sévillan… un homme surpris à faire la sérénade à une dame dont il a lui-même les faveurs convoité, et, comme la malheureuse victime était bien connue, le meurtre ne pouvait pas être facilement étouffé. Le Roi, jaloux de sa réputation de Salomon des temps modernes, et en s’appuyant sur le déguisement qu’il avait adopté pour son aventure, a audacieusement convoqué le district alcalde devant lui, et a exigé la production du meurtrier dans un délai de trois jours, sous peine de mort. Maintenant, Don Pedro avait chaud a si soigneusement dissimulé sa personnalité mais qu’un vieux femme, qui vivait en face de l’endroit où le crime avait été engagée, et avait été attirée par la fenêtre par le bruit des éraflures, l’avait reconnu. Elle a transmis ses informations à l’alcalde, qui a pré a peint une effigie du roi, et s’est présenté à la heure désignée dans la Sala de las Justicias. Sefior», il a dit, en produisant l’image, «Voici le meurtrier ! Don Pedro, confronté ainsi à son crime et aux preuves de détection, et a frappé par l’ingéniosité de l’appareil à laquelle on avait eu recours, récompensait l’habile alcalde, et s’est condamné, par procuration, à la mort. La sentence a été effectuée sur le lieu du meurtre, et la qui se trouve maintenant dans la niche d’une maison à la Calle del Rey Don Pedro (l’ensemble porte un de la rue) est, dit-on, la plus grande Le bouc émissaire a été pendu ici il y a 500 ans, tandis que les opposants la maison de la fenêtre de laquelle l’engagement de le crime a été commis en présence de témoins.
Il fait face à un la cour intérieure de la Casa de Pilatos à Sevilla où elle se distingue de façon si évidente même dans cette terre de rejas qu’elle doit être l’œuvre d’un des le maître rejeros employé dans la cathédrale de la même ville. Les registres des artilleurs engagés sur la ce les édifices cléricaux et municipaux sont peu nombreux en Espagne, mais les documents relatifs à la
à ceux qui étaient employés sur des casas particulares. La grille de Pilatos ne porte aucune trace des styles précédents et a probablement été exécuté vers 1535. Dans les deux des étages de broches formant le corps du reja ; c’est le une retenue qui impressionne autant que l’ornement. Le peu qui existe est travaillé avec une exquise gentillesse, le motif d’acanthe sur les broches étant si délicat
Tous les jours
– Hiver (de novembre a mars), de 9:00 a 18:00 heure.
– Eté (de avril a octobre): de 9:00 a 19:00 heure.
Prix
Normal:
Entraée rez de chaussé: 6 €.
Entrée pour visite complète: 8 €.